Le sionisme comme perversion du judaïsme (extraits)
Le
 sionisme est bien évidemment une perversion ferme et définitive du 
judaïsme. Malheureusement aujourd’hui, la majorité des juifs,  
revendique glorieusement cette mythologie malsaine. Installer sa 
destinée sur des millions de morts [...] est  une sorte de macabre 
réinvention « des premiers hommes »,  pour en faire de vertueux 
criminels! L’équation est d’une simplicité biblique: puisque les nazis 
ont failli nous exterminer on s’accapare  donc la  " terre promise "
 et pour qu’elle nous échoie, il est  du devoir du monde de se taire
 devant le génocide de ses habitants, les palestiniens.
Toute récrimination de musulmans ou toute gesticulation des arabes
 ne sont que des manifestations d’une « haine ontologique », selon le 
mot de Luc Ferry pour les jeunes de l’Intifadha. (http://www.divergences.net/spip/spip.php?article182).  tant et bien que 
le vrai  courage  est plus, aujourd’hui, du coté des juifs qui 
condamnent sans ambages les crimes d’Israël à Gaza et ailleurs. Ils sont
 souvent stigmatisés par les les déjà anciens « nouveaux philosophes » 
et vrais sophistes, selon Roger Garaudy, que sont les Finkielkraut et 
autres BHL de la nébuleuse des intellectuels faussaires selon 
l’expression judicieuse de Pascal Boniface, comme étant  des « juifs 
antisémites ».
Ceci n’enlève aucun mérité à Paul-Eric Blanrue, qui malgré 
l’ostracisme impitoyable dans lequel  la bien-pensance occidentale tente
 de  circonscrire sa parole,  tente d’apporter son témoignage sur cet 
cet affrontement essentiel entre véritablement le bien et le mal et qui 
engage le monde sur la scène du croissant fertile. Roger Garaudy avait 
dès la parution de son livre-dossier   " l’affaire Israël " en 1983*  
reçu une avalanche d’insultes allant jusqu’à la  menace de mort.
Quant à Alain Menargues ou Pascal Boniface, pour respectivement 
leurs livres, réquisitoire, pour le premier, contre le « Mur de Sharon »
 et vrai cri du coeur excédé, pour le second, avec « Peut-on critiquer 
Israel », ils ont bien appris à leurs dépends combien il en coute de 
s’aventurer  en dehors des sentiers battus du politiquement correct pour
 s’aplat-ventrir devant l’impératif soutien d’Israël. La glorification 
de la liberté d’expression est souvent mise à contribution pour voiler  
 la « censure sournoise et le couvre-feu moral ».
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 L’entêtement des sionistes à entrainer la communauté juive à commettre, 
selon les paroles de l’Abbé Pierre, contre le peuple palestinien ce dont
 elle a été elle-même victime est une voie qui ne conduit qu’à justifier
 la damnation des émules d’Ariel Sharon et cie.  Et  comme je suis plus 
prudent qu’Emmanuel Valls, qui aurait déclaré récemment son indéfectible
 attachement à Israël, je n’associerais mon éternité à celle de personne
 et surtout pas à l’éternité de ceux qui s’octroient la terre promise et
 revendiquent l’exclusivité du ciel de peur que de peuple élu ils ne se 
découvrent déchus en enfer! Regardez ce qu’il est advenu du boucher de
 Sabra et Chatila, ni la terre ni le ciel ne semblent se résoudre à le 
recevoir! En plus de leur faire commettre des crimes irrémissibles,  le 
sionisme contraint les juifs à assumer un problème existentiel 
insoluble.
En cela, il est, sans doute, la forme la plus sophistiquée et réelle de l’antisémitisme.
Références :
* Roger Garaudy, « L’affaire Israël, le sionisme politique », éditions Papyrus, Paris, mars 1983
* Roger Garaudy, « L’affaire Israël, le sionisme politique », éditions Papyrus, Paris, mars 1983
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
