21 février 2020

A propos des "Mythes fondateurs de la politique israélienne" (suite...)

TRIBUNE LIBRE
A PROPOS DES « MYTHES », SUITE…

« L’Histoire (…) cesse d’exister si elle n’est plus recherche du vrai,  
fondée sur des documents authentiques ; elle s’évapore littéralement ; 
 
mieux : elle n’est plus que fraude et mystification. » (Régine 
 
Pernoud, "Pour en finir avec le Moyen Âge", Éd. Points, 2014, p. 123)

Il faut aussi bien évidemment une totale et inconditionnelle et véritable 
 
liberté pour l’histoire, car autrement elle cesse d’exister en tant que 
 
science positive, et cette exigence inaliénable est rappelée par le titre 
 
du livre dont est tirée la citation suivante :

« L’Histoire n’est ni une religion ni une morale ; elle ne doit pas être 
 
l’esclave de l’actualité ni s’écrire sous la dictée de la mémoire ; la 
 
politique de l’État n’est pas la politique de l’histoire. » (Pierre Nora et 
 
Françoise Chandernagor, "Liberté pour l’Histoire", 2008)


Par ailleurs le travail de l’historien est dépeint à merveille en ces 
 
termes :

« L’historien, comme le juge, occupe une position de tiers, et, de fait, 
 
aspire à l’impartialité. Mais, il s’agit là d’une aspiration nécessairement 
 
inassouvie, au sens où l’impartialité totale est impossible. L’historien ne 
 
peut, ni ne veut, porter un jugement historique - et quand bien même il le 
 
ferait, le jugement historique est par nature provisoire et sujet à 
 
controverse. Dans le prolongement, de même qu’il est impossible d’accéder à 
 
l’impartialité absolue, l’historien n’a pas les moyens d’écrire une 
 
histoire globale, qui annulerait les différences entre points de vue, une 
 
histoire unique qui embrasserait celle des exécutants, celles des victimes 
 
et celles des témoins. (…) La controverse semble donc inévitable, et 
 
l’histoire est vouée à un perpétuel révisionnisme. » (Pauline Seguin, 
 
2012 ; la citation est ici :
 http://indomemoires.hypotheses.org/3261 ; il  
s’agit du compte-rendu d’un livre de Paul Ricœur)

08 février 2020

Plaidoyer pour un livre et son auteur

Plaidoyer pour un livre et son auteur, par Marc
©Tous droits réservés. Reproduction interdite sans accord de l'auteur et de l'administrateur


Rarement un livre n'aura suscité un tel déferlement de haine, de colère et de fureur envers son auteur que l'ouvrage de Roger Garaudy '' Les mythes fondateurs de la politique israélienne'' (1). L'ensemble des médias et la classe politique française se sont unis pour lyncher et brûler sur la place publique cet écrit, et marquer son auteur du sceau de l'infamie, pour le restant de sa vie et même après sa mort. Les rares, très rares soutiens, comme l'abbé Pierre, ont été aussitôt vilipendés et jetés aux chiens ( pour reprendre la phrase célèbre du Président Mitterrand après le suicide de Pierre Beregovoy).



05 février 2020

Apartheid en Ecuador

El filósofo francés Roger Garaudy sostenía que en América Latina y en los pueblos pobres, como parte del proceso implacable de dominación, se asesinaban todos los días escritores, científicos, artistas; talentos formidables como los de Cervantes Saavedra, William Shakespeare, García Márquez, Pablo Neruda, Gabriela Mistral, Tolstoi, Dostoiyewski, Gorki, Hemingway, Stembeich, Pablo Picasso, Bethoveen, Mozart, y muchísimos otros genios singulares, con la fórmula perversa de no brindar educación, en forma planificada, a niños y jóvenes de esas sociedades.
Diego C. Delgado Jara
LIRE L'ARTICLE EN ENTIER ICI