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par Marc
L'idée d'un '' peuple élu'', choisi par Dieu, trouve son
origine dans un texte de la Bible hébraïque(1) :
Car
tu es un peuple saint, pour Yahweh, ton Elohim(2) ; Yahweh, ton Elohim,
t'a choisi, pour que tu fusses son peuple qui lui appartînt entre tous les
peuples qui sont sur la terre.
Deutéronome 7:6
Nous
n'allons pas engager une discussion théologique ou philosophique sur ce sujet.
Le débat serait stérile et resterait cantonné à des généralités.Les théologiens
nous expliqueront que la divinité, être transcendant et tout puissant, est
libre de faire ce qu'elle veut, sans
rendre compte à quiconque de ses actes et décisions. Yahweh ne
déclare-t-il pas, par la bouche du prophète Malachie :
Je vous ai aimés,
dit Yahweh. Et vous dites : En quoi nous a-tu aimés ? Esaü n'est-il
pas frère de Jacob ? dit Yahweh. Cependant j'ai aimé Jacob, et j'ai
eu de la haine pour Esaü.
Malachie 1:1-3
Et
pourtant, nous connaissons la fourberie de Jacob, qui n'a pas hésité, sur les
conseils de sa mère, à user d'une
tromperie infâme envers son père malvoyant. Mais, encore une fois, selon
les théologiens, le dieu Yahweh n'a pas à justifier de ses choix, même s'ils
nous apparaissent choquants.
Ce
qu'il nous faut analyser en premier lieu, ce sont les conséquences de cette
''élection'' des descendants d'Abraham. Ensuite, nous apporterons la
démonstration que cette notion de '' peuple élu'' est une mystification.
Imaginons un seul instant les sentiments de toute puissance, de domination, et de mépris, donc de racisme, envers les autres hommes et nations, que peut éprouver un peuple persuadé d'être '' le peuple élu'' ?
John
Shelby Spong(3) affirme « qu'il y a toujours un danger à croire que
vous et votre peuple avez été spécialement choisi par Dieu. Le corollaire
le plus évident est que vos ennemis, qui n'ont pas été '' choisis'', sont vite
considérés comme '' rejetés'' par Dieu..Si Dieu rejetait ces '' autres'', ces
non-Hébreux, alors il était justifié qu'Israël les rejette et même les
extermine»(3a)
Roger
Garaudy va jusqu'à évoquer « l'idée la plus maléfique de
l'histoire humaine : celle de peuple élu par un Dieu partial et
partiel( donc une idole), justifiant par avance toutes les dominations, les
colonisations et les massacres »(3b)
Laurent
Guyénot écrit que « Les interdits relationnels, culturels,
alimentaires..etc, doivent empêcher toute socialisation en dehors de la
communauté du peuple hébreu. Yahweh exige une obéissance absolue à
ses lois...Le message yahwiste répète constamment : '' Ne fréquentez pas
les idolâtres ( les non-juifs), méprisez leurs traditions, et lorsque c'est
possible, exploitez-les, asservissez-les, exterminez-les. Si après cela, ils
vous font du tort, c'est votre faute : vous n'avez pas obéi assez
scrupuleusement.'' »(4)
On
comprend mieux, dès lors, les
observations de Benjamin Franklin, lors des débats préliminaires à la
constitution américaine :
« Dans tous les pays où les Juifs se sont installés
en nombre, ils ont abaissé le niveau moral, discrédité l'intégrité commerciale,
et ils se sont toujours exceptés du peuple d'accueil sans jamais s'assimiler
aux autres habitants.Ils ont constitué un État dans l’État. »(5)
Notons d'ailleurs
l'étrange similitude de ces propos avec les paroles du grand vizir Haman,
adressé au roi Assuérus(6) :
« Il y a dans toutes les provinces de ton royaume, un
peuple dispersé et à part parmi les peuples, ayant des lois différentes de
celles de tous les peuples, et n'observant point les lois du roi...... »
Esther 3:8
Yahweh exige en effet une
séparation totale d'avec les autres peuples :
Lorsque Yahweh dont Elohim [Trad. l'Éternel, ton
Dieu], t'aura fait entrer dans le pays dont tu vas prendre possession, et
qu'il chassera devant toi beaucoup de nations, les Héthiens, les Guirgasiens,
les Amoréens, les Cananéens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens, sept
nations plus nombreuses et plus puissantes que toi;
lorsque Yahweh, ton Elohim, te les aura livrées et que tu
les auras battues, tu les dévoueras par interdit, tu ne traiteras point
d'alliance avec elles, et tu ne leur feras point grâce. Tu ne
contracteras point de mariage avec ces peuples, tu ne donneras point tes
filles à leurs fils, et tu ne prendras point leurs filles pour tes fils;
Deutéronome 7:1-3
Et Laurent Guyénot va
encore plus loin dans son analyse des relations entre Yahweh et son peuple.
« Dans
le cadre de notre réflexion sur la relation entre Yahweh et son peuple élu, ce
qui nous intéresse spécifiquement est l'expérience du fils préféré d'un père
sociopathe, celui que le père a élu pour en faire une extension de son propre
moi narcissique....Tout ce que le fils accomplit sert à nourrir le narcissisme
du père : celui-ci s'en attribue le mérite, et en attend reconnaissance.
En revanche, il fait chèrement payer au fils ce qu'il estime être des échecs : ils sont la preuve que,
livré à lui-même, le fils est un incapable... »(7)
Ces
traits du père narcissique ressemblent étrangement au comportent du dieu
Yahweh. La lecture de la Bible hébraïque en donne de nombreux exemples.
En 1934, le rabbin Joachim Prinz déclarait même n'être pas
mécontent que le régime nazi interdise les mariages mixtes, et il
écrivait :
« Nous
voulons que l'assimilation soit remplacée par une nouvelle loi : la
déclaration d'appartenance à la nation juive et à la race juive. Un État
fondé sur le principe de la pureté de la nation et de la race, ne peut qu'être
honoré par le Juif qui déclare son appartenance à son propre peuple. »(8)
Ce
sentiment de mépris envers les autres peuples est prégnant dans tout le Talmud
et la lecture de l'ouvrage de Flavien
Brenier(8a) est édifiante à cet égard.
Notons, en passant, que la Loi fondamentale
Israël État-nation du Peuple Juif,
adoptée par la Knesset le 19 juillet 2018, entérine de manière
officielle ce qui était pratiqué couramment, mais officieusement jusqu'alors,
la discrimination entre Juifs et non Juifs en Israël. Désormais Israël est un
État d'apartheid, selon l'ouvrage prémonitoire écrit par Julien Salingue et
Céline Lebrun, ISRAËL, UN ETAT D'APARTHEID ? Enjeux juridiques et
politiques aux éditions l'Harmattan .
Ajoutons
les sentiments d'ivresse et et de
jouissance à la pensée d'exploiter à profusion les richesses des nations, selon les promesses de
Yahweh (9):
Tu suceras le lait des nations, tu suceras
la mamelle des rois ; et tu sauras que je suis Yahweh, ton sauveur, ton
rédempteur, le puissant de Jacob.
Isaïe 60:16
Mais vous,on vous appellera sacrificateurs de Yahweh, on
vous nommera serviteurs de notre Dieu ; Vous mangerez les richesses des
nations. Et vous vous glorifierez de leur gloire.
Isaïe 61:6
Yahweh leur donna les terres des nations et ils possédèrent le
fruit du travail des peuples
Psaume 105:44
Je renvoie le lecteur intéressé au livre très documenté
d'Anne Kling, qui brosse un tableau édifiant des indemnités vertigineuses ''
sucées'' par la communauté juive et
l’État d'Israël au détriment des nations.(10)
Cette doctrine du '' peuple
élu'' a été étudiée par des générations de théologiens. Nous n'allons pas
nous perdre dans ces discussions complexes et rébarbatives. Car, la seule
question qui doive être élucidée, c'est celle
de savoir si c'est
réellement Dieu, quelque soit son nom, l'auteur de la déclaration
fondant cette doctrine.
|
Les
religieux vont immédiatement nous rappeler
l'inspiration des Écritures Saintes et l'absence d'erreur dans les
écrits bibliques, en citant Paul.
« L’Écriture
est la voix de Dieu, parlant directement à sa créature, mais, s’il en est
ainsi, elle réclame nécessairement de nous la foi, l’obéissance et une entière
soumission. « Toute Écriture, » dit l’apôtre Paul,
« est inspirée de Dieu » (2 Tim. 3:16). Ces paroles ne signifient
pas seulement que l’Écriture contient ce qui est inspiré — plusieurs de ceux
qui nient l’inspiration verbale, admettent cela — mais qu’elle-même,
tout entière, est inspirée. »(11)
Les
théologiens se basent sur les propos de Paul précités pour affirmer
l'inspiration de la Bible. Mais, Paul n'est pas infaillible . En dehors
de la connaissance des textes de la bible hébraïque acquises pendant ses années
d'étude auprès des docteurs de la loi, Paul n'avait aucune autre
connaissance, et évidement pas scientifique. D'ailleurs, toutes les
sciences enseignées aujourd'hui étaient inconnues dans le monde juif, et dans
le monde antique en général.
John
Shelby Spong écrit :
« La
pensée de Paul était limitée par la vision du monde et les événements de
son temps. Vouloir trouver à tout prix
une vérité éternelle dans des paroles conditionnées par une culture et une
époque qui ne sont pas les nôtres est le comble de la bêtise. Les mots de
Paul ne sont pas la parole de Dieu : ce sont les mots de Paul – grande
différence....Paul n'était pas un ''savant universel ''.Il n'était
même pas un spécialiste de la Bible.
Il
avait étudié les Écritures, mais ne connaissait rien au contexte, à
l'histoire, à la formation de l'Ancien Testament, contrairement à n'importe
quel étudiant d'un grand séminaire anglais ou américain aujourd'hui. La sagesse
populaire, à son époque, attribuait la Torah à Moïse et Paul ne mettait pas
cela en doute(Rm 9:15 ; 10:15;10:19;1Co 9:9 ; 2 Co 3:15).
Mais
les problèmes sont encore plus nombreux et insolubles lorsqu'on traite les
mots de Paul comme s'ils étaient la parole infaillible de Dieu. Une telle attitude suppose qu'un chrétien doive
renoncer à tout analyse intelligente et admettre des schémas culturels depuis
longtemps abandonnés. »(12)
et
Irving Finkel(13) précise que :
« Le
texte écrit de la Bible hébraïque(quelle que fût sa source
d'inspiration ou la littérature qu'elle inspira ) est une œuvre de
conception humaine. Lorsqu'on lit la Bible en gardant un tel principe à
l'esprit, c'est une évidence qui apparaît partout.
Par
exemple, on peut relever les répétitions inutiles, les insertions
inappropriées, les récits contradictoires et redondants, la mention des sources
utilisées. Le texte hébraïque représente une somme de travail nécessitant la
collaboration de nombreux contributeurs... »(13a)
Mais,
sans doute, nos lecteurs seraient en droit de nous reprocher de ne citer que
des exégètes ou chercheurs critiques. Nous allons donc faire appel à un éminent
érudit juif, le grand rabbin Herman Hertz.(14). Son très réputé commentaire
sur la Torah figure encore en bonne place dans la plupart des synagogues orthodoxes et des
maisons juives en Grande-Bretagne.
Voici
ce qu'il écrit en prélude du Talmud de Babylone(15) :
« Pendant
l'exil, Israël retrouva la Torah. Sous son influence, apparurent de nouvelles
institutions religieuses comme la synagogue, une communauté d'office religieux
sans prêtre ni sans rituel.
Pendant
qu'ils étaient à Babylone, les guides juifs instaurèrent la théorie du
peuple élu, une race divine à
laquelle sont subordonnés les autres peuples. La prétention à un
contrôle parfait sur l'humanité au moyen d'un gouvernement mondial provient de
cette idéologie. »(16)
et
Claude Timmerman(17) poursuit :
«
Conscientes aujourd'hui de la condamnation morale universelle que peut
engendrer une telle prétention, qu'absolument rien ne justifie et qui va à
l'encontre de toute idée de l'universalité de l'Homme, les autorités
rabbiniques espèrent naïvement '' faire passer la pilule'' en utilisant la
formule adoucie de '' peuple choisi'' »(18)
Alors,
si c'est un grand rabbin qui l'affirme..... On ne va pas l'accuser d'anti-sémitisme ! Que
faut-il dès lors encore chercher comme autre preuve pour admettre que cette
doctrine est une énorme mystification.
Ajoutons
une touche surprenante ; le dieu Yahweh, tel qu'il est décrit dans les
écrits des compilateurs de la Bible hébraïque, se plaint continuellement de son
peuple élu. Il le menace des pires calamités, n'hésite pas à le châtier par la
foudre, la peste, les tremblements de terre, la famine....Il regrette même
de l'avoir choisi, et s'apprêtait à
l'exterminer...
Et
Yahweh dit à Moïse : Jusques à quand ce peuple [ le peuple choisi par
Yahweh]me méprisera-t-il ? Jusques à quand ne croira-t-il pas en moi,
malgré toutes les prodiges que j'ai faits au milieu d'eux ? Je les
frapperai par la peste, et je le détruirai ...
Nombres 14:12-13
mais,
au dernier moment, Moïse, selon les
écrits de la Bible hébraïque, fit appel à la '' fierté '' de Yahweh, en
l'avertissant combien son prestige serait amoindri !!!
Si
tu fais mourir ce peuple, comme un seul homme, les nations qui ont entendu
parler de toi, diront: Yahweh n'avait pas le pouvoir de mener ce peuple
dans le pays qu'il avait juré de lui donner:c'est pour cela qu'il l'a égorgé
dans le désert.
Nombres 14:15-16
Laissons à Roger Garaudy le soin de conclure :
«
Jésus ne dicte pas de commandements : il appelle à l'amour. Le fait est si
nouveau que Jésus dit à ses disciples, en un suprême entretien :''Je vous
donne un commandement nouveau : aimez-vous les uns les autres''( Jn
13:34). Il ne s'agit donc pas pour Jésus de restaurer le Royaume d'Israël,
d'être un Messie de type davidique(20), mais de donner un visage à
l'espérance de tous les hommes.
C'est
en ce sens, et par ce sens seul, excluant tout exclusivisme de ''peuple
élu '' que consiste son rôle de '' Messie '' universel et
son message central : l'instauration du Règne de Dieu sur la terre
entière.... Avec Jésus est bien mort le mythe mortel du '' peuple
élu '', justification idéologique de toute domination politique ou
religieuse »(21)
Marc
A consulter
également les cours en vidéo au collège de France du professeur Thomas Römer:
(2) Yahweh
est le nom propre du dieu des
descendants d'Abraham, Elohim correspond au pluriel de El, signifiant Dieu. Les traducteurs ont remplacé
Yahweh par l'expression éternelle, et Elohim par Dieu. Pour plus d'explications sur cette question,
le livre du professeur Thomas Römer, l'invention
de Dieu , publié aux éd. du Seuil,
2014, apportera d'utiles commentaires.
(3) John Shelby SPONG ( né en 1931) est l'ancien évêque anglican du diocèse
du New Jersey, de l'Église Épiscopale
des États-Unis. C'est un chrétien
libéral, théologien, universitaire, critique religieux et écrivain.
(3a)
SPONG John Shelby, Sauver la Bible du fondamentalisme, Kathala, 2016,
p.34.
(3b)
GARAUDY Roger, Les Mythes fondateurs de la politique israélienne,
Samiszdat, 1996, p.246.
(4) GUYENOT Laurent, Du
Yahwisme au sionisme, p.374-376.
(5) BRENIER Flavien, Les Juifs et le Talmud,
Ed. St Rémi, p.12.
(7) GUYENOT Laurent, Du Yahwisme au sionisme,
p.373.
(8)
PRINZ Joachim, Wir Juden, Reiss, Berlin, 1934, p.150-151, cité
dans SHAHAK Israël, Histoire juive- Religion juive,
le poids de trois millénaires, éd.Vieille Taupe, 1996, p.147. Prinz émigra
aux États-Unis où il s'éleva au poste
de vice-président du Congrès juif
mondial. Son ouvrage célébrait la '' révolution allemande'' et la défaite du libéralisme.
(8a) BRENIER Flavien, op.cité.
(9) A
comparer aux promesses promises par le Père céleste révélé par Jésus:
Béni
soit Dieu le Père, qui selon sa grande miséricorde, nous a fait naître à une
vie nouvelle, en attendant les biens
que Dieu nous réserve dans les cieux (1 Pierre 1:3-4) .
(10)
KLING Anne, Shoah, la saga des réparations, Ed.Mithra,
2015. Se référer aussi à : PETITHORY Jean-Marc, Qui
est le dieu Yahweh ?, p.123-139 https://www.thebookedition.com/fr/qui-est-le-dieu-yahweh--p-364379.html.
(12)
SPONG John Shelby, Sauver la
Bible du fondamentalisme, Un évêque repense le sens des Écritures, Ed. Karthala, 2016, p.125.
(13) Irving Leonard FINKEL (né en septembre 1951)
est un philologue, assyriologue et écrivain britannique. Il est assistant au British Museum en
écrits de l'ancienne Mésopotamie, spécialiste du cunéiforme au département du Moyen-Orient.
(13a)
FINKEL Irving, l'Arche avant Noé, Ed. JC Lattès, 2015,
p.272-273.
(14)
Joseph Herman HERTZ
(1872-1946) Grand rabbin des Congrégations hébraïques unies
britanniques de 1913 à
1946.
(15) Le Talmud comprend l'ensemble des
commentaires rabbinique sur la Torah. Il
existe deux Talmud, celui de Babylone et celui de Jérusalem. Le Talmud
exalte l'orgueil ethnique et les espérances de domination universelle du peuple juif.
(16) GOFF Kenneth, The Jewish Power, Sacred
Truth Publishing, 2006, p.3 cité dans TIMMERMAN Claude, Judéo-Christianisme,Travestissement historique et contre-sens idéologique,
Ed.KontreKulture, 2018,p.190.
(17) Claude TIMMERMAN Claude est un biologiste, statisticien, spécialiste
de la génétique des populations, diplômé
de l’ENS. Il a publié en 2018 Judéo-christianisme,
travestissement historique et contre-sens idéologique.
(18) TIMMERMAN Claude, op.cité, p.190.
(19) Israël SHAHAK né en 1933 à Varsovie, et mort
à Jérusalem en 2001, était un Professeur de chimie à l’Université hébraïque de Jérusalem.
Il fut le Président de la Ligue israélienne pour les droits humains et civils de 1970 à 1990. Rescapé des camps de concentration nazis, il fut un ardent
militant pour la paix, extrêmement
critique des gouvernements israéliens et de la société israélienne. Il a
publié Histoire juive, religion
juive : le poids de trois millénaires aux éditions Vieille Taupe en 1996.
(20) Le lecteur consultera sur le blog de Roger
Garaudy une étude sur le refus du Christ
de ressembler à un Messie triomphant à l'image du roi
David: https://rogergaraudy.blogspot.com/2018/02/jesus-fils-de-david-vraiment.html
(21) GARAUDY Roger, Vers une guerre de
religion, le débat du siècle, Desclée de Brouwer, p.158-159