Donc, M. Donald Trump sera le prochain Président des États-Unis. Et nos
médias de tirer la tronche le mercredi matin qui correspond à la soirée
du mardi d’élections outre-Atlantique. C’est que, ici, en France,
personne ne voulait y croire. Toutes les rédactions qui se sont
déplacées là-bas, à grand frais, ont préparé des plateaux avec des
partisans de Mme Clinton. Les économistes, les politologues, les
soi-disant hommes de la rue : tous étaient pour la candidate Démocrate.
Chaque station et probablement chaque télévision avait programmé une
« nuit américaine », satisfaits de leur jeu de mot. Selon les émissions,
on avait des spécialistes ou des artistes qui, tous, à l’instar de
Bruce Springsteen ne tarissaient pas d’éloge d’Hilary. Les Français,
toujours persuadés d’être les plus intelligents du monde, ont largement
fait connaître leur préférence et ne comprennent pas qu’on ne les ait
pas écoutés là-bas. Les commentateurs ont exposé la vacuité du programme
de M. Trump ou sa dangerosité. Les humoristes se sont moqués jusqu’à
son prénom, ignorants qu’ils sont que Donald est un prénom écossais très
populaire avant d’être celui d’un personnage de « comics ».
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