Hommage à Roger Garaudy, paru 2 mois après son décès sur le blog 'COM' ILS DISENT
Roger
Garaudy
(1913-2012) est l'un des plus grands penseurs français de la période
contemporaine. Un authentique penseur ; je veux dire pas un de ces vulgaires "agrégés
de philo...logie" qui se font passer pour les philosophes qu'ils ne
sont pas !
Et parce qu'il fut un authentique penseur, et pas un vulgaire compilateur de la pensée des autres ni un de ces cuistres de studio de radio ou de plateau de télévision, qui passent le clair de leur temps à s'entendre causer, Garaudy se vit blackboulé - comme on dit chez les françs-maçons - par les médias officiels, interdit d'antenne un peu partout, personne n'ayant les c... pour oser l'affronter en débat contradictoire, à l'instar de ce qui arrive actuellement au meilleur humoriste français, Dieudonné M'bala M'bala.
Et parce qu'il fut un authentique penseur, et pas un vulgaire compilateur de la pensée des autres ni un de ces cuistres de studio de radio ou de plateau de télévision, qui passent le clair de leur temps à s'entendre causer, Garaudy se vit blackboulé - comme on dit chez les françs-maçons - par les médias officiels, interdit d'antenne un peu partout, personne n'ayant les c... pour oser l'affronter en débat contradictoire, à l'instar de ce qui arrive actuellement au meilleur humoriste français, Dieudonné M'bala M'bala.
Et
voilà la France se découvrant inquisitoriale, ou stalinienne, à l'instar d'une
vulgaire dictature albanaise ou nord-coréenne, au point de ne même pas oser
évoquer dans les médias la récente disparition de Garaudy . Mais des
médias aux ordres de qui ? De quel chef d'orchestre ? Il faut croire qu'ils
sont puissants, les ordonnateurs occultes qui dictent aux médias leur ligne de
conduite. Autrefois, c'était l'Église catholique qui avait le pouvoir de vous
traîner sur un bûcher pour un mot de travers. À l'époque, on se réclamait du
droit divin et tout blasphème était passible de la peine de mort. Aujourd'hui,
nous sommes censés baigner dans un univers de félicité et de liberté de penser et
de s'exprimer, ce qui explique que nos grands inquisiteurs rasent les murs et
agissent en catimini.
Roger
Garaudy a disparu le 13 juin 2012 et je m'étais promis de lui consacrer
quelques lignes, en attendant une étude plus détaillée sur laquelle je travaille
actuellement. Il se trouve simplement que les principales thèses contenues dans
son fameux pamphlet sur "Les mythes fondateurs...", qui lui a
valu d'être effacé des tablettes officielles par les tenants du stalinisme, ont
été - les thèses - largement reprises ailleurs, notamment dans des ouvrages
fameux de Norman Finkelstein et Shlomo Sand, lesquels n'ont eu droit - allez
savoir pourquoi - à aucun procès ni à aucun autodafé de leurs ouvrages.
Mais
qu'importe la couardise de la grande presse et des médias
"officiels". Grâce à l'Internet, nous vivons une révolution
culturelle aussi décisive que la prise en main de l'imprimerie par les paysans allemands - les premiers paysans lettrés de l'Histoire et
inventeurs des tout premiers tracts (en allemand : Flugblatt ; plur. Flugblätter)
-, qui allait conduire à la victoire des idées de Luther dans l'espace
germanique. Et force est d'admettre que l'Internet est devenu un espace
d'expression démocratique à nul autre pareil.
La
liberté ne s'use que si l'on ne s'en sert pas, s'amuse à répéter le Canard Enchaîné ; et
entre nous, je ne vois pas très bien qui pourrait venir, là maintenant, décider
à ma place de ce que je devrais dire ou ne pas dire, penser ou ne pas penser,
écrire ou ne pas écrire !
En
guise d'hommage à ce grand homme qu'était Garaudy, j'ai choisi de reproduire un
extrait de la préface des "Mythes fondateurs...", ouvrage
largement accessible sur l'Internet comme l'essentiel de la production du
philosophe.
POURQUOI CE
LIVRE ? par Roger Garaudy
Les
intégrismes, générateurs de violences et de guerres, sont une maladie mortelle
de notre temps.
Ce livre fait
partie d'une trilogie que j'ai consacrée à les combattre : Grandeur
et décadence de l'Islam, dans lequel je dénonce l'épicentre de
l'intégrisme musulman : l'Arabie Saoudite. J'y ai désigné le Roi Fahd,
complice de l'invasion américaine au Moyen-Orient, comme "prostituée
politique", qui fait de l'islamisme une maladie de l'Islam.
Deux ouvrages
consacrés à l'intégrisme catholique romain qui, tout en
prétendant "défendre la vie", disserte sur l'embryon, mais se
tait lorsque 13 millions et demi d'enfants meurent chaque année de
malnutrition et de faim, victimes du "monothéisme du marché"
imposé par la domination américaine. Ces ouvrages s'intitulent : Avons-nous
besoin de Dieu ? et Vers une guerre de religion ? (contre le monothéisme
du marché).
Le troisième
volet du triptyque: Les Mythes fondateurs de la politique
israélienne, dénonce l'hérésie du sionisme politique qui consiste à
substituer au Dieu d'Israël l'Etat d'Israël, porte-avions nucléaire et
insubmersible des provisoires maîtres du monde : Les Etats-Unis, qui
entendent s'approprier les pétroles du Moyen-Orient, nerf de la croissance
à l'occidentale. (Modèle de "croissance" qui, par le truchement du
F.M.I., coûte au Tiers Monde l'équivalent en morts d'un Hiroshima tous les
deux jours).
Depuis Lord
Balfour, déclarant, lorsqu'il livrait aux sionistes un pays qui ne
lui appartenait pas : "Peu importe le système mis en œuvre pour
que nous conservions le pétrole du Moyen-Orient. Il est essentiel que ce
pétrole demeure accessible." (Kimhe John, Palestine et Israël,
Ed. Albin Michel, 1973, p. 27), jusqu'au secrétaire d'Etat américain,
Cordell Hull : "Il faut bien comprendre que le pétrole d'Arabie
Saoudite constitue l'un des plus puissants leviers du monde"
(ibidem, p. 240), une même politique assigne la même mission aux
dirigeants sionistes israéliens, celle qu'a définie Joseph Luns, ancien
secrétaire général de l'O.T.A.N. : "Israël a été le mercenaire le
moins coûteux de notre époque moderne." (Nadav Shragaï, Haaretz
du 13 mars 1992).
Un mercenaire
pourtant bien payé puisque, par exemple, de 1951 à 1959, deux millions
d'Israéliens ont reçu, par tête, cent fois plus que deux milliards d'habitants
du Tiers Monde ; et surtout mercenaire bien protégé: de 1972 à 1996, les
Etats-Unis ont opposé trente fois leur veto, aux Nations Unies, à toute
condamnation d'Israël, alors que ses dirigeants appliquaient leur
programme de désintégration de tous les Etats du Moyen-Orient, programme
exposé par la revue Kivounim (Orientations) , février 1982, p. 50 à 59, à
l'époque de l'invasion du Liban. Cette politique repose, grâce à l'appui
inconditionnel des Etats-Unis, sur l'idée que la loi internationale est
un "chiffon de papier" (Ben Gourion), et que par exemple, les
résolutions 242 et 338 des Nations Unies, qui exigent qu'Israël se retire
de la Cisjordanie et du Golan, sont destinées à rester lettre morte, de
même que la condamnation unanime de l'annexion de Jérusalem, que même les
Etats-Unis votèrent, mais en excluant toute sanction.
Une politique
aussi inavouable en son fond exige le camouflage que mon livre a
pour objet de dévoiler.
D'abord, une
prétendue justification "théologique" des agressions par une
lecture intégriste des textes révélés, transformant le mythe en histoire :
le grandiose symbole de la soumission inconditionnelle d'Abraham à la
volonté de Dieu, et sa bénédiction de "toutes les familles de la
terre", transformé en son contraire tribal : la terre conquise
devenant "terre promise", comme chez tous les peuples du
Moyen-Orient, de la Mésopotamie aux Hittites et à l'Egypte.
Il en est de
même pour l'Exode, cet éternel symbole de la libération des peuples
contre l'oppression et la tyrannie, invoqué aussi bien par le Coran (XLIV,
31-32) que par les actuels "théologiens de la libération". Alors
qu'il s'adresse à tous les peuples fidèles à la volonté d'un Dieu
Universel, il devient un miracle unique, et le privilège qu'aurait accordé
un Dieu partiel et partial à un peuple élu, comme dans toutes les
religions tribales et tous les nationalismes, qui prétendent être le
peuple élu dont la mission serait d'accomplir la volonté de Dieu: Gesta Dei
pert Francos, pour les Français, Gott mit uns, pour les Allemands, Faire
Christ Roi, pour Franco, In God We Trust, blasphème inscrit sur chaque
dollar, dieu tout puissant du monothéisme de l'argent et du marché.
Et puis une
mythologie plus moderne: celle de l'Etat d'Israël qui serait "la réponse
de Dieu à l'Holocauste", comme si Israël était le seul refuge des
victimes de la barbarie de Hitler, alors qu'Itzhak Shamir lui-même (qui
offrait son alliance à Hitler jusqu'à son arrestation par les Anglais, pour
collaboration avec l'ennemi et terrorisme) écrit : "Contrairement
à l'opinion commune, la plupart des immigrants israéliens n'étaient pas
les restes survivants de l'Holocauste, mais des Juifs de pays arabes, indigènes
à la région." (Itzhak Shamir, Looking Back,Looking Ahead, 1987,
p. 574).
Il fallait donc
gonfler les chiffres des victimes. Par exemple, la plaque commémorative du
monument d'Auschwitz disait, en dix-neuf langues, jusqu'en 1994 : quatre
millions de victimes. Les nouvelles plaques proclament aujourd'hui
: "environ un million et demi". Il fallait faire croire, avec le
mythe des six millions, que l'humanité avait assisté là "au plus
grand génocide de l'histoire", en oubliant 60 millions d'indiens
d'Amérique, cent millions de Noirs (10 tués pour un captif), oubliant même
Hiroshima et Nagasaki, et les cinquante millions de morts de
cette deuxième guerre mondiale, dont 17 millions de slaves, comme si
l'hitlérisme n'avait été qu'un vaste pogrom et non pas un crime contre
l'humanité entière. Serait-on antisémite pour dire que les Juifs ont été
très durement frappés, mais qu'ils ne furent pas les seuls, sous prétexte
que la télévision ne parle que de ces victimes mais pas des autres ?
En outre, pour
compléter le camouflage, il fallait, par un nom théologique
: "Holocauste", donner un caractère sacrificiel à ces massacres
réels, et les insérer en quelque sorte dans le plan divin, comme par
exemple la crucifixion de Jésus.
Notre livre n'a
d'autre objet que de dénoncer ce camouflage idéologique d'une politique,
pour empêcher qu'on la confonde avec la grande tradition des
prophètes d'Israël. Avec mon ami Bernard Lecache, fondateur de la L.I.C.A.
(devenue la L.I.CR.A.) déporté dans le même camp de concentration que moi,
nous apprenions, en des cours du soir, à nos compagnons, la grandeur,
l'universalisme, et la puissance libératrice de ces prophètes juifs.
A ce message
prophétique, je n'ai jamais cessé d'être fidèle, même lorsqu'après 35
ans de militantisme au Parti communiste, et membre de son Bureau
politique, j'en étais exclu, en 1970, pour avoir dit, dés 1968 : "L'Union
soviétique n'est pas un pays socialiste". Comme je dis
aujourd'hui : La théologie de la domination de la Curie romaine n'est pas
fidèle au Christ, l'Islamisme trahit l'Islam, et le sionisme politique est
aux antipodes du grand prophétisme juif.
Déjà, lorsqu'au
temps de la guerre du Liban, en 1982, avec le Père Lelong, le
Pasteur Matthiot, et Jacques Fauvet, nous étions traduits en justice par
la L.I.CR.A. pour avoir montré, dans Le Monde du 17 juin 1982, avec la
bienveillance de son directeur, que l'invasion du Liban était dans la
logique du sionisme politique, le tribunal de Paris par jugement du 24
mars 1983, confirmé en appel, puis définitivement par la Cour de Cassation,
"considérant qu'il s'agit de la critique licite de la politique d'un Etat
et de l'idéologie qui l'inspire, et non de provocation raciale... la
déboute [la L.I.CR.A.] de toutes ses demandes, et la condamne aux
dépens."
Le présent
livre est strictement fidèle à notre critique politique et idéologique
d'alors, même si la loi scélérate du "communiste" Gayssot a
voulu renforcer, depuis lors, la répression contre la liberté d'expression
en faisant du jugement de Nuremberg le critère de la vérité historique et
en instituant un "délit d'opinion". Ce projet de loi
fut combattu à l'Assemblée Nationale d'alors par l'actuel ministre de la
Justice.
Nous pensons
apporter une contribution à la lutte pour une paix véritable, fondée
sur le respect de la vérité et de la loi internationale.
Courageusement,
en Israël même, des Juifs fidèles à leurs prophètes, de
"nouveaux historiens" de l'Université hébraïque de Jérusalem, et
les partisans israéliens d'une paix juste, après la révélation de leur
malfaisance, pour l'Etat d'Israël lui-même, et pour la paix du monde,
s'interrogent sur les "mythes" du sionisme politique qui
ont conduit aux assassinats commis par Baruch Goldstein à Hébron, et par
Ygal Amir contre le Premier ministre Ytzhak Rabin.
La vérité est
en marche, et rien ne l'arrêtera.
Le terrorisme
intellectuel d'un "lobby" déjà dénoncé par le Général de Gaulle
pour "son influence excessive sur l'information" m'a conduit, en
France, à procéder à une pré-publication de ce texte dans un numéro
spécial hors commerce, réservé aux abonnés, d'une revue. Ce fait,
expression de la situation en France, semble avoir beaucoup plus retenu
l'attention des commentateurs que le contenu de mon texte.
Je le publie
donc aujourd'hui moi-même, sous ma seule responsabilité, sous forme
de Samizdat, au sens strict de ce terme qui signifie en russe :
"édité par soi-même".
Ce livre est
déjà traduit et en cours de publication aux États-Unis, en Italie, au
Liban, en Turquie, au Brésil. Il est en cours de traduction en allemand et
en russe.
Le texte
français est accessible sur le réseau télématique Internet.
Contre les
mythologies dévoyées, ce sera une nouvelle contribution à
l'histoire critique du monde contemporain.
Fin de l'extrait de la préface de Roger
Garaudy
Citations :
1 -Norman G.Finkelstein [On
the misuse of Anti-Semitism and the Abuse of History, Los Angeles,
U. of California Press, 2005]
I examined how
the Nazi holocaust has been fashioned into an ideological weapon to immunize
Israel from legitimate criticism. In this book I look at a variant of this
Holocaust card, namely, the "new anti-Semitism." In fact, the
allegation of a new anti-Semitism is neither new nor about anti-Semitism.
Whenever Israel comes under renewed international pressure to withdraw from
occupied territories, its apologists mount yet another meticulously
orchestrated media extravaganza alleging that the world is awash in
anti-Semitism.
Je me suis penché sur la manière dont l'holocauste
nazi a été instrumentalisé en une arme idéologique pour immuniser Israël de
toute critique. Dans ce livre, j'examine une variante de cet instrument de
l'Holocauste, à savoir, le « nouvel antisémitisme ». En fait, l'allégation d'un
nouvel antisémitisme n'est ni nouvelle ni limitée à l'antisémitisme. Chaque
fois qu'Israël est soumis à une pression internationale renouvelée pour qu'il
se retire des territoires (palestiniens) occupés, ses propagandistes mettent
immédiatement en place une campagne fumeuse et méticuleusement orchestrée à
travers les médias, alléguant que le monde serait de nouveau submergé par une
vague d'antisémitisme.
2 - Extrait
du Lévitique ou 3ème Livre de Moïse: [...]
1.1 L'Éternel appela Moïse ; de la tente
d'assignation, il lui parla et dit :
1.2 Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur : Lorsque quelqu'un d'entre vous fera une offrande à l'Éternel, il offrira du bétail, du gros ou du menu bétail.
1.3 Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut; il l'offrira à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Éternel, pour obtenir sa faveur.
1.4 Il posera sa main sur la tête de l'holocauste, qui sera agréé de l'Éternel, pour lui servir d'expiation.
1.5 Il égorgera le veau devant l'Éternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, offriront le sang, et le répandront tout autour sur l'autel qui est à l'entrée de la tente d'assignation.
1.6 Il dépouillera l'holocauste, et le coupera par morceaux.
1.7 Les fils du sacrificateur Aaron mettront du feu sur l'autel, et arrangeront du bois sur le feu.
1.8 Les sacrificateurs, fils d'Aaron, poseront les morceaux, la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
1.9 Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur brûlera le tout sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une odeur agréable à l'Éternel.
1.2 Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur : Lorsque quelqu'un d'entre vous fera une offrande à l'Éternel, il offrira du bétail, du gros ou du menu bétail.
1.3 Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut; il l'offrira à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Éternel, pour obtenir sa faveur.
1.4 Il posera sa main sur la tête de l'holocauste, qui sera agréé de l'Éternel, pour lui servir d'expiation.
1.5 Il égorgera le veau devant l'Éternel; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, offriront le sang, et le répandront tout autour sur l'autel qui est à l'entrée de la tente d'assignation.
1.6 Il dépouillera l'holocauste, et le coupera par morceaux.
1.7 Les fils du sacrificateur Aaron mettront du feu sur l'autel, et arrangeront du bois sur le feu.
1.8 Les sacrificateurs, fils d'Aaron, poseront les morceaux, la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
1.9 Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur brûlera le tout sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une odeur agréable à l'Éternel.
1.10 Si son offrande est un holocauste de
menu bétail, d'agneaux ou de chèvres, il offrira un mâle sans défaut.
1.11 Il l'égorgera au côté septentrional de l'autel, devant l'Éternel ; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, en répandront le sang sur l'autel tout autour.
1.12 Il le coupera par morceaux ; et le sacrificateur les posera, avec la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
1.13 Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur sacrifiera le tout, et le brûlera sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une odeur agréable à l'Éternel.
1.11 Il l'égorgera au côté septentrional de l'autel, devant l'Éternel ; et les sacrificateurs, fils d'Aaron, en répandront le sang sur l'autel tout autour.
1.12 Il le coupera par morceaux ; et le sacrificateur les posera, avec la tête et la graisse, sur le bois mis au feu sur l'autel.
1.13 Il lavera avec de l'eau les entrailles et les jambes; et le sacrificateur sacrifiera le tout, et le brûlera sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une odeur agréable à l'Éternel.
1.14 Si son offrande à l'Éternel est un holocauste
d'oiseaux, il offrira des tourterelles ou de jeunes pigeons.
1.15 Le sacrificateur sacrifiera l'oiseau sur l'autel ; il lui ouvrira la tête avec l'ongle, et la brûlera sur l'autel, et il exprimera le sang contre un côté de l'autel.
1.16 Il ôtera le jabot avec ses plumes, et le jettera près de l'autel, vers l'orient, dans le lieu où l'on met les cendres.
1.17 Il déchirera les ailes, sans les détacher; et le sacrificateur brûlera l'oiseau sur l'autel, sur le bois mis au feu. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une odeur agréable à l'Éternel.
1.15 Le sacrificateur sacrifiera l'oiseau sur l'autel ; il lui ouvrira la tête avec l'ongle, et la brûlera sur l'autel, et il exprimera le sang contre un côté de l'autel.
1.16 Il ôtera le jabot avec ses plumes, et le jettera près de l'autel, vers l'orient, dans le lieu où l'on met les cendres.
1.17 Il déchirera les ailes, sans les détacher; et le sacrificateur brûlera l'oiseau sur l'autel, sur le bois mis au feu. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une odeur agréable à l'Éternel.