Après
toute l’émotion médiatique et la surenchère de sensiblerie
ostensiblement exposée par les dirigeants des puissances européennes et
du nord en général devant la mort du jeune enfant syrien Aylan Kurdi
transformé en emblème du tragique existentiel des migrants faisant face à
toutes sortes de périls, nous tenons à conspuer ce jeu malsain
d’hypocrites histrioniques qui, d’une part, entretiennent les politiques
financières et les violences chaotiques provoquant cette massification
de la migration mais font mine, d’autre part, de s’émouvoir de la mort
hypermédiatisée d’un enfant syrien, eux dont la politique massacre par
la faim, la guerre, le chaos planifié, des millions d’enfants et
d’adultes de par le monde.
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