par Israël Adam Shamir
Tandis que la fête de Pâques russe approche, et tombera cette année le 1er mai - tout un symbole- il est temps de parler d’un événement spirituel récent de la plus haute importance, et qui a été mis sous le boisseau en Occident, alors que toute la Russie en est bouleversée. Ce n’était pas un Oscar, pourtant. Deux vieux messieurs, à la tête de deux grandes églises, se sont rencontrés sur le territoire de la troisième église. Kyrille et François, les évêques de Moscou et de Rome, sur le dernier vestige du territoire communiste, à Cuba. Ils représentaient deux églises anciennes et vénérables : l’église romaine catholique, et l’église russe orthodoxe, séparées par un schisme vieux de mille ans, avec, comme la statue du commandeur, l’église communiste présidant à la rencontre.
Tandis que la fête de Pâques russe approche, et tombera cette année le 1er mai - tout un symbole- il est temps de parler d’un événement spirituel récent de la plus haute importance, et qui a été mis sous le boisseau en Occident, alors que toute la Russie en est bouleversée. Ce n’était pas un Oscar, pourtant. Deux vieux messieurs, à la tête de deux grandes églises, se sont rencontrés sur le territoire de la troisième église. Kyrille et François, les évêques de Moscou et de Rome, sur le dernier vestige du territoire communiste, à Cuba. Ils représentaient deux églises anciennes et vénérables : l’église romaine catholique, et l’église russe orthodoxe, séparées par un schisme vieux de mille ans, avec, comme la statue du commandeur, l’église communiste présidant à la rencontre.