Les droits de la Terre-Mère
Par Diego Landivar
Docteur en Economie (CERDI-CNRS), normalien, enseignant chercheur au Groupe ESC Clermont et directeur du laboratoire Origens Media Lab. A travaillé pour le gouvernement bolivien en tant que conseiller du ministre de la planification du développement (2006-2007) et depuis 2014 du ministre du développement productif. Ses travaux portent sur le droit de la nature, les controverses environnementales, les assemblées constituantes et les humanités numériques.
Conférence-débat
Jeudi 14 avril 2016 à 20h
Salle Multimedia Georges Conchon – 3 rue Léo Lagrange à Clermont-Ferrand
Jeudi 14 avril 2016 à 20h
Salle Multimedia Georges Conchon – 3 rue Léo Lagrange à Clermont-Ferrand
« Pourrait-on imaginer que la
nature se rebelle et se mette à poursuivre en justice tous ceux qui la
détruisent ? Un scénario de film fantastique devenu réalité en Equateur
avec l’affaire Rio Vilcabamba contre l’Etat de Loja en 2011. Une rivière contre
un état. Un cas d’école qui a permis à ce pays d’appliquer un « principe
de juridiction universelle » : en effet chacun peut saisir la cour de
justice au nom de la nature. Un nouvel ordre juridique qui, en Bolivie, permet
aussi de représenter tous les êtres passés, présents et…à venir. » (Diego Landivar, Emilie Ramillien, Revue« ORBS », n°3)
2ème publication