Au lieu de considérer
l’actuelle logique économique de Maastricht, de l’euro, et de l’économie de
marché, comme un destin, il s’agit de rompre avec cette logique, c’est-à-dire
de passer de la logique de la spéculation à la logique de la production et de
la création humaine à l’échelle du monde total, et non d’une Europe hier
coloniale aujourd’hui usurière par son exploitation des dettes d’un monde
qu’elle a sous-développé au profit de son propre développement déshumanisé.